Sadique / Masochiste / Douillet
Ce matin, pas bien réveillé, vous avez fait tomber un couteau qui a glissé sous un meuble. Impossible de voir où il est allé se loger, alors vous passez la main pour tâter le sol et tenter de le repérer. Ce qui ne tarde pas. Vous retirez votre main douloureuse, vous vous êtes bien entaillé. Et vous n'avez toujours pas récupéré le couteau.
5/ Vous avez été négligeant et n'avez pas utilisé la bonne approche. C'est bien fait pour vous. Vous attrapez un outil long et effilé pour tenter de ramener à vous tout ce que le meuble cache.
3/ Vous cachez votre blessure et appelez votre conjoint pour lui demander d'aller attraper ce que vous avez fait tomber, sans lui dire de quoi il s'agit, ou en mentant effrontément. Vous espérez qu'il se blesse à son tour.
2/ Vous léchez votre sang, mais il n'y en a pas tellement. Vous pressez votre doigt mais le sang ne vient toujours pas. Alors, vous repartez à la recherche du couteau avec votre autre main...
4/ Vous pleurez. Comment une telle chose peut-elle être possible ? C'est désastreux ! Vous vous évanouissez.
1/ Vous ne nettoyez pas la plaie et vous espérez que ça s'infecte avant que vos proches ne le remarquent. Vous cachez votre entaille par un pansement et vous attendez que votre heure vienne sur le canapé du salon.
Aujourd'hui, vous devez tous les deux aller vous faire vacciner.
2/ Vous aimez vous soumettre à la contrainte d'un docteur. Vous tentez de négocier avec votre conjoint pour qu'il vous laisse y aller à sa place, profitant ainsi de deux séances de vaccination.
5/ Vous parlementez sur la nécessité d'être vacciné. Est-ce plus de bien que de mal ? Et le serment d'Hypocrate, n'invite-t-il pas à toute précaution dans l'administration de compositions chimiques ?
4/ Vous tentez d'être courageux, mais rien n'y fait, votre niveau de stress a atteint un seuil critique. Lorsque vous voyez le médecin sortir la seringue de son compartiment en plastique, la pression devient trop forte, et vous vous évanouissez. A votre réveil, vous êtes vacciné. Finalement, c'était pas si difficile.
3/ Vous insistez pour assister à la séance de votre compagnon. Vous savez qu'il déteste ça et vous vous en réjouissez d'avance.
1/ Vous espérez que les vaccins sont bien ce qu'on raconte et qu'ils vont vous innoculer ce dont ils sont censés vous protéger. Votre fin pourrait venir plus rapidement que prévu, et votre famille serait peut-être indemnisée, c'est parfait.
Le week-end arrive et vous partez camper. L'après-midi, vous partez vous promener en pleine nature. Une fois au plus loin de votre campement, votre ceinture se rompt.
3/ Vous prenez votre ceinture pour un fouet et vous l'abattez sur ceux qui vous entourent. Ils se plaignent, ce qui constitue une bonne raison pour continuer.
2/ Vous attrapez votre ceinture à pleine main et vous simulez des passes d'arme. A chaque mouvement, la boucle métallique vous heurte, allant même parfois jusqu'à vous blesser. Vous n'êtes pas prêt d'arrêter.
4/ Vous risquez de vous blesser avec une ceinture cassée qui pend de votre pantalon, et vous jugez préférable de la confier à une poubelle disposée plus loin sur le sentier. A sa place, vous utilisez un morceau de corde ou de lanière quelconque, qui ne présente aucun danger.
1/ Vous faites comme si de rien n'était et vous attendez le pique-nique. Le moment venu, vous prétexterez d'allez uriner pour accrocher votre ceinture à un arbre et vous pendre. Et c'en sera terminé de ces petits riens qui vous gâchent la vie.
5/ Vous réservez votre ceinture dans votre sac à dos et finirez le chemin en tenant votre pantalon. C'est la meilleure chose à faire, même si vos amis ne sont pas de cet avis.
Le soir venu, vous décidez de faire un petit feu de camp pour faire griller des saucisses. Maladroitement, un de vos amis laisse tomber sa fourchette dans le feu, et il n'y en a pas d'autres en réserve, c'est chacun la sienne.
1/ Vous vous proposez pour l'attraper et, faisant mine de déraper, vous vous étalez sur le feu. Vous espérez que la mort viendra rapidement, et que votre ami pourra récupérer facilement sa fourchette après.
3/ Vous attendez que votre ami se décide à aller la chercher de ses propres mains, et lorsque le moment est le mieux choisi, vous soufflez sur les braises afin de les raviver.
5/ Vous êtes le premier à réagir. Malgré les protestations tardives, vous renversez un plein seau d'eau sur le feu afin de l'éteindre. Vous ne pourrez plus rallumer le feu, la bouffe est trempée et à moitié cuite, mais au moins, la fourchette est sauve.
2/ Vous vous précipitez pour rattraper le couvert indiscipliné. Au passage, vous marquez une petite pause dans le feu. C'est agréable cette chaleur. Come la fourchette est brûlante, vous ne la rendez pas immédiatement à votre ami.
4/ Vous voyez que votre ami s'apprête à aller récupérer sa fourchette à la main, et vous ne pouvez pas supporter cette idée. Mais avant que vous ayez pu vous éloigner, celui-ci plonge sa main dans les braise et ressort la fourchette qu'il laisse tomber à la chaleur. Il jure, et vous vous évanouissez.
Le lendemain, vous avez prévu d'aller faire du paint-ball. Vous vous rendez à l'accueil et il y a un créneau immédiatement. Mais vous n'avez pas terminé votre cigarette et il n'y a pas de cendrier. De plus, avec cette chaleur, jeter un batonnet incandescent au sol est rapidement synonyme d'incendie criminel.
1/ Vous avalez votre cigarette devant les yeux ahuris de vos amis, et vous espérez que la nocivité du tabac, des cendres et du filtre suffiront à venir à bout d'un bout de viande comme vous. Ou qu'au moins il vous provoque un cancer avant de partir, ce serait la moindre des choses !
4/ Vous ne savez pas comment faire. Vous vous mettez accroupi et vous frottez les quelques braises de votre cigarette par terre. Puis, vous les piétinez. Quand votre tube de papier est correctement éteint, vous allez le jeter dans la poubelle la plus proche, et revenez en courant pour rattrapez vos amis qui ont déjà commencé.
2/ Vous écrasez votre cigarette dans votre main, tout naturellement. Comme une cendre rougit encore, vous l'écrasez sur votre bras. Vous auriez bien envie de rallumer une autre cigarette, mais vos amis se montrent pressant. Tant pis.
3/ Vous écrasez votre cigarette sur le bras d'un de vos amis, qui crie de douleur et vous traite de noms d'oiseaux. L'amitié, c'est parfois tellement imagé. Vous êtes heureux.
5/ Vous tartinez le mur du commerce de vos cendres, et le tenancier vous remarque. Dès lors, vous êtes interdit de loisir sur tout le centre et vos amis avec.
Vous avez finalement pu commencer votre partie de paint-ball tant attendue.
1/ Vous restez assis derrière un buisson, hésitant à tester le fusil sur votre tempe. Avec un peu de chance, vous ne sentirez rien. Mais cela pourrait aussi être très douloureux et n'avoir aucun effet. Comment faire ?
5/ Vous avez découvert une technique formidable pour gagner à tous les coups : plusieurs t-shirts à manches longues. A la fin de la partie, vous n'avez pas une tâche. Mais plus personne ne vous parle...
2/ Le jeu ne vous passionne pas plus que ça. Vous courrez à découvert pendant toute la partie, et regrettez que vos amis ne visent pas un peu mieux. Vous avez même été obligé de vous tirer vous-même dessus à un moment.
4/ Vous regrettez votre témérité et espérez qu'on ne vous repère pas. A chaque bruit de pas, vous tremblez. Mais généralement, ce n'est que le responsable qui ne fait pas partie du jeu. Mais vous vous sentez plus en sécurité à côté de son officine, surtout en cas de problème sérieux, sait-on jamais.
3/ Vous adorez ce jeu. Enfin, vous allez pouvoir infliger à vos amis ce dont vous rêvez quotidiennement. Vous battez tout le monde à plates coutures.
Résultats :
Si vous avez une majorité de réponse 1, vous êtes suicidaire. La vie ne vaut pas la peine d'être vécue, mais vous vous en donnez de nombreuses pour y mettre fin. Vous prétextez vouloir décharger vos proches du poids que vous représentez, mais en fait c'est pour cette raison que vous en êtes un. Et la réalité, c'est surtout que vous ne supportez pas de vivre sans être assuré qu'on pense constamment à vous. Alors, vous tâchez de vous faire remarquer de la pire des façons, forçant tout le monde à veiller constamment sur vous, amorçant un cercle vicieux qui vous vaut alors d'être un véritable boulet mal-aimé. Essayez de vous trouver une autre occupation que mettre fin à vos jours, et vos proches vous laisseront naturellement plus de marge de manoeuvre. Et enfin, vous vivrez pleinement, non au travers du temps que d'autres perdent pour vous.
Si vous avez une majorité de réponse 2, vous êtes franchement masochiste. Vous saisissez chaque opportunité de vous infliger un sévice supplémentaire, et cela effraye parfois votre entourage. Mais vous n'allez jamais trop loin, et même si votre épiderme ressemble à un champ de bataille vous n'avez visiblement aucune séquelle de vos jeux dangereux. Toutefois, essayez de ne pas trop vous laisser aller en présence d'enfants, car vous êtes un très mauvais exemple à suivre, et il serait dommage que votre comportement nuise à des gens que vous aimez certainement.
Si vous avez une majorité de réponse 3, vous êtes carrément sadique. Vous sautez sur la moindre occasion de faire souffrir vos proches, l'important étant plus de les faire souffrir que de les ennuyer. Vous vous réjouissez devant toute manifestation de douleur et de domination, et il vous est parfois difficile de vous contrôler lorsque la possibilité vous est donnée de jouer un douloureux tour à quelqu'un, quel qu'il soit. Peut-être qu'un jour vous serez un dangereux criminel et qu'on fera un film sur vous. J'espère ne jamais vous connaitre !
Si vous avez une majorité de réponse 4, vous êtes Super-Douillet, le super héros qui reste chez lui pour éviter tout risque de se casser un ongle. Impressionnable, vous êtes capable de vous évanouir à la moindre évocation d'accident, de violence ou de blessure. Alors, lorsque le danger vient se présenter à vous, votre premier réflexe est de vous affaler de tout votre long. Ne passez jamais le permis de conduire, et ne vous lancez jamais dans une activité pouvant présenter le moindre risque, car devant l'imprévu vous seriez capable de paniquer et de provoquer un incident qui n'avait rien d'inévitable.
Si vous avez une majorité de réponse 5, vous êtes un individu très particulier. Contrariant, vous êtes capable de demander ce que vous ne voulez pas seulement pour contredire un proche. Têtu, vous ne revenez jamais sur une décisions que vous avez annoncée, même lorsqu'on vous a fait comprendre que c'était la dernière des bonnes idées. Maniaque, vous vous imposez vous-même des règles dépassant l'entendement dans le seul but de faire les chose à votre manière. Vous désirez probablement montrer que vous êtes unique, mais vous ne vous doutez pas que les gens comme vous sont aussi nombreux. Evidemment, puisqu'il est impossible de réunir deux personnes comme vous dans une même pièce sans qu'un drame se produise. Je suis prêt à parier que vous êtes du genre à inventer de nouvelles règles à tous les jeux de société et de les imposer aux autres joueurs pour vous rendre intéressant. Vous ne vous rendez pas compte qu'au lieu de vous rendre intéressant, c'est le jeu que vous rendez ennuyeux, et vous avec. Changez d'attitude, et, pour le bien de tous, faites-le de sorte à avoir une majorité de réponse 1 en repassant ce même test. Merci.
Si vous lisez cette phrase, il est déjà trop tard, vous avez été contaminé par le démon du scrupule. Envoyez ce test à cinquante de vos amis dans les trentes prochaines secondes ou votre anus pourrait devenir un trou noir et vous vider de toute substance. Mais que faites vous encore ici ? Allez vite envoyer ce test à autant de gens que possible si vous voulez survivre ! Vous n'avez pas le temps de lire la suite du test, vous le ferez plus tard, vite !
Si j'ai trois bananes et deux rondelles, suis-je né près d'une centrale nucléaire privée ?
Si je considère que 2 et 5 sont le même chiffre dessiné à l'envers, est-ce que 3 est un miroir ? Et si 11² donne 121, est-ce que 33² donnera 353 ? Enfin, est-ce que les mathématiques ça sert vraiment dans la vie ?
Si vous ne comprenez rien à ce que je raconte, arrêtez de lire. Il en va de même si vous n'aimez pas l'écriture pompeuse, celle qui se veut drôle, et celle qui se croit spirituelle. De même si vous êtes d'une sensibilité à fleur de peau et que vous appartenez à une minorité quelconque, basée sur vos préférences sexuelles, votre couleur de peau, votre culture, vos passions, votre handicap. Si malgré ça vous continuez à me lire, vous êtes tellement banal que vous ne le méritez pas. Merci de partir de vous-même.
Si je vis sur une planète en anneau, est-ce qu'il va m'être possible de me balader à l'intérieur de l'anneau sans être irrémédiablement précipité au centre de l'anneau par la gravité. Si je fais l'exprérience, viendrez-vous me chercher ?
Si j'arrête de poser des questions, vous promettez de répondre à quelques unes ? Oups, c'est encore une question, je n'arrive plus à m'empêcher, qu'est-ce qui m'arrive ? Et voilà, ça recommence, ça ne s'arrêtera donc jamais ? Et merde...