En ce jour, ami lecteur, l'heure est grave. Avec tout le respect que je vous porte, il m'est cependant nécessaire de vous présenter quelqu'un. Quinze jours qu'il trépigne de faire son entrée, alors il est possible qu'il soit quelque peu entreprenant. N'en prenez pas ombrage, il ne vous veux pas de mal, il vous aime. Et même si ce n'est pas réciproque, peu importe, il vous aimera pour deux. Devinez qui parmi nous s'est glissé. C'est la mascotte, que vous pouvez voir juste à côté !
Terminé le blog plein texte sans l'ombre d'une illustration. Si on ne l'avait pas, il faudrait l'inventer, ce que nous avons fait. Fébrilement, nous avons cherché, sans relâche, quelle forme nous allions lui donner, et pourquoi. Quoi qu'il se soit passé, peut-être quelque chose a merdé, mais nous sommes tombé là dessus. Surtout pour moi, qui, comme vous le savez, suis si délicat, un pénis pour emblême, c'est un drôle de choix. Chois comme je chus, sans mouchoir de soie, rien d'autre ne m'est venu. Nulle part ailleurs vous ne trouverez pareil spécimen, avec son gland de cervelle et ses bras de prépuce, ses pieds, comme vous les voyez, et son auréole, mais comment se fait-ce, cela vous rend-il fébrile ? Il s'appelle Liker, se prononce Lika, et il est à moi. Mois après jour, et vice-réciproquement, il vous accompagnera, s'adaptant de toutes situations, exprimant toute catégorie. Original comme une mouche sur vous savez quoi, il égayera votre séjour pour mieux vous abîmer.

Mais il n'est pas venu les mains vides, et il apporte avec lui un nouveau design, à l'image du livre, le premier, lorsque, bientôt, il sortira. Iradiant vos yeux, que vous refusez de croire, le nouvel habillage personnalise enfin un décor autrefois si serein. Serein comme la mort, quand ce blog est une vie. Visiblement, ce nouveau design me va mieux, il m'en donne des frissons. Son petit côté bucolique me sied parfaitement, mais comme pour Liker, j'ai du me faire aider, et pas qu'un peu. Peut-être que je ne suis bon qu'à ordonner des lettres sans toucher aux traits qui les composent, laissant ce bonheur m'échapper. Permettez-moi donc de vous introduire présenter, si vous ne la connaissez pas déjà, Kaya. Y'avait qu'elle pour me faire d'aussi beaux dessins, et en plus, vu le boulot, c'est vraiment cadeau. Dommage, j'aurais pu tout donner, mais non, alors je suis prêt à recommencer.

C'est aussi avec grand plaisir que je vous offre quelques nouveautés de mon cru. Cru ne signifiant pas que le reste était cuit, mais que je me suis débrouillé tout seul pour les faire, je précise au cas où. Ouvrez vos yeux, ce qui devrait déjà être le cas, et regardez en haut, ce que vous avez sans doute déjà fait. Affaire de goût, il y a forcément des catégories que vous appréciez, sinon vous ne seriez pas là, tandis que d'autres vous repoussent. Où s'exprimer sur ces préférences, sinon dans un sondage que j'ai préparé pour vous en espérant que vous y participerez. Réservez quelques minutes de votre temps pour y répondre, lorsque ça vous sera possible, mais ne vous pressez pas. Parce qu'il restera bien deux mois en place là-haut, il n'y a donc pas d'urgence.

En ce moment, vous l'avez sans doute compris, je prépare un recueil, qui contiendra les quatre-vingt quinze premiers articles de ce blog, rien que ça, et quelques petites choses en plus. Plus que ce que vous offre le blog, mais aussi plus que ce que vous offrira le recueil en PDF téléchargeable gratuitement et préparé au format A4 pour que vous puissiez l'imprimer chez vous. Vous aurez ainsi le choix entre consulter le blog, imprimer le recueil simple, et/ou acheter le livre, enrichi en bonus, et dont le prix sera vraiment bas, vous verrez. Réciproquement, je n'en toucherai rien, évidemment, tandis que sa création, en plus de temps, m'aura été très couteuse, m'empêchant de renouveler l'expérience pour un prochain tome. Au moment où je vous parle, je n'ai pas assez en banque pour assumer ça tout seul, et aucune opportunité d'arranger ça. J'ai savouré tous les instants passés ici, et j'aimerais poursuivre avec, et pour vous, mais votre aide devient nécessaire. Erreur, je n'en veux pas qu'à votre argent, je veux tout de vous. Vous pouvez bien entendu "me" faire un "don", anonyme ou pas, par l'intermédiaire d'In Libro Veritas, mon éditeur, et ainsi vous serez sûrs qu'il servira bien à la publication d'un prochain volume ainsi qu'à la promotion de La Fuite du Cerceau, pour votre propre plaisir et rien d'autre. Autrement, vous pouvez aussi m'aider en parlant de ce blog, en faisant un lien vers lui, en invitant vos amis ("Recommander ce blog" dans le menu en haut), ou en faisant l'homme sandwitch avec un produit dérivé. Rivez votre entourage à son écran d'ordinateur, et imposez-lui la lecture de La Fuite du Cerceau. Sauf si vous pensez que ce n'est pas préférable, évidemment, moi je ne peux pas deviner. N'ayez aucun scrupule à reproduire une des bannières ou à réutiliser des images de la mascotte pour transmettre le virus aux gens, ils l'ont bien cherché après tout.

Toujours dans l'optique de vous faciliter la vie, votre serviteur, c'est moi, vous a préparé deux nouvelles pages, dans les Liens Ternes, que vous avez peut-être déjà parcourues. Ruez-vous dessus si ce n'est pas déjà fait, vous y trouverez, sur une la liste des moyens de soutenir ce blog, et sur l'autre des statistiques en rapport avec le livre et tout ce qui va avec. Et comme ce n'est pas automatique, je vous promets de la tenir à jour au maximum. Au mieux, elle sera toujours à jour, et au pire, elle aura un peu de retard. Arrangez-vous pour y aller quand les informations sont à jour, et n'en parlons plus. Plutôt que de poursuivre dans le vide, maintenant que j'ai tout dit, l'heure est venue de vous remercier, d'abord d'être là, puis de revenir, sans doute, et éventuellement de participer. Personne ne saurait vous dire à quel point je vous aime, tous, même si vous ne vous exprimez pas dans les commentaires. Terminé maintenant, je vous laisse tranquille, et souhaitons-nous bonne chance !
Retour à l'accueil