Bien sûr, si on vous écoutait, vous seriez en quelques sortes le maître du monde. Personne ne serait plus parfait que vous, et vos choix sont indiscutables. D'ailleurs, vous mettez tellement de mauvaise foi à l'oeuvre que vous arrivez finalement à vous convaincre vous-même que les autres sont vraiment nuls, à différents degrés, et proportionnellement au nombre de leurs divergences d'opinion avec la votre. C'est dingue à quel point le nombrilisme peut vous rendre prétentieux. Encore, si vous étiez nihiliste, ça se comprendrait, mais savez-vous au moins ce que ce mot signifie ? Bien, alors vous voulez savoir si vous avez vraiment autant de couilles que ce que vous claironnez ? Non ? Alors allez voir là-bas si j'y suis, espèce de poule mouillée. Que ceux qui restent ne cochent pas les réponses directement sur la page sous peine de se voir instantanément classé dans la benne du tout venant des ordures ménagères. Si vous êtes sage, on vous recyclera peut-être. Et maintenant, faites ce test à la con, et foutez-moi la paix.
Ah, une dernière chose. Parfois, on vous renverra en 31, comme dans un livre dont vous êtes le héros. Sauf qu'il n'y a pas de 31. Non, parce que de toutes façons, vous êtes mort. Je vais pas m'emmerder à taper un 31 alors que vous êtes crevé non plus. D'où l'expression se mettre sur son 31 : schlinguer à mort. Enfin, probablement.

Votre patron vous convoque dans son bureau pour vous exprimer son amour pour vous. Malheureusement la conjecture endémique actuelle fait que l'actionnariat attend des marchés qu'ils incitent la hiérarchie à procéder à quelques réorganisations du potentiel salarial au sein de la structure dont vous êtes interdépendant. Dès lors, il vous faudra faire plus d'heures, mais votre travail sera moins sanctionné. La seule autre option serait d'envisager une séparation conjointement ratifiée exempte de dédommagements forfaitaires.
1/ Comment ce gros porc peut-il se permettre de vous traiter de cette façon, avec sa face de cul plaqué or ? Ni une ni deux, vous profitez de travailler dans un abattoire et d'avoir votre couteau de boucher sur vous pour menacer ce sombre individu et lui proposer de vous augmenter. La seule autre option serait un détachement encéphalique non négociable par prospection sismique trachéocentrée administrée au bistouri de boucher.
5/ Vous êtes content. Si. Le patron il a parlé de séparation, et vous n'avez jamais aimé votre beau père. D'abord, il vous frappe alors que parfois vous n'avez rien fait. Et en plus, depuis qu'il est là, vous ne pouvez plus dormir avec maman. Vous avez le sourire aux lèvres.
4/ Vous tremblez, Néron, et sentez votre chute proche. D'ailleurs, ce ne sont pas vos sous-vêtements tâchés d'urine qui pourront prouver le contraire. Vous avez bien tenté de protester, en disant au patron que quand même, c'est pas normal, mais il vous a répondu qu'il n'avait pas le choix. Vous ne pouviez pas lutter.
2/ Vous acceptez votre sort sans dire un mot. Vous jetez un oeil par la fenêtre, il commence à se faire tard. Vous vous levez pour quitter le bureau du patron. Mais cette fois-ci, vous préférez emprunter la fenêtre. Vous êtes enfin libre. Rendez-vous en 31.
3/ Vous vous dites que décidément, vous n'avez pas de chance. Déjà que vous étiez en dessous du seuil de pauvreté et que vous n'aviez qu'un jour de repos par semaine, voilà que vous allez devoir en faire encore plus. Pauvre patron, ça doit être difficile, pour lui aussi. Il est même probablement le premier touché par la crise.

Vous êtes au restaurant avec une dame. La votre, certainement, quoi que ça ne me regarde pas. Vous hélez un garçon, alors que c'est une femme, pour lui demander l'addition. Lorsque vous ouvrez celle-ci, vous découvrez que les prix ont connu une certaine inflation de l'ordre de 25% depuis qu'on vous a présenté la carte.
4/ Vous tremblez, Néron, et sentez votre chute proche. Vous allez voir la serveuse et lui demandez pourquoi et comment ça se fait que le compte ne soit pas bon, mais elle vous répond qu'elle ne s'occupe que de servir et ne gère pas la caisse. Tant pis, vous n'avez plus d'autre choix, vous allez devoir payer.
2/ Vous qui aviez tout précalculé, on vous demande finalement bien plus que vous n'avez. Dès lors, vous prétextez une envie de vous soulager pour vous rendre aux toilettes, où vous vous isolez dans une cabine pour pouvoir vous noyer en paix. Rendez-vous en 31.
5/ Le papier est plein de chiffres, et ça n'a jamais été votre fort. De toutes façons, vous avez apporté toutes vos économies, et vous les déposez dans la soucoupe contenant l'addition. Un billet de cinq, deux pièces de cuivre, un demi-paquet de chewing-gum et une craie compose votre trésor, que vous offrez sans remord au monsieur qui fait à manger bon.
3/ Mince, vous avez du vous tromper dans vos calculs. Et de toutes façons, ce n'est pas à vous de décider de la valeur de votre repas. En plus, c'était vraiment bon, ça valait bien ce prix là. Et encore, c'est donné. Vous reviendrez.
1/ Vous sortez votre plus belle plume et inscrivez au dos de l'addition tous vos griefs, avec pour clé de voute de votre argumentaire, la non-correspondance des prix avec ceux affichés. Puis, vous laissez un pourboire et partez sans payer. La serveuse était très gentille.

Au cours d'une de vos balades et par un hasard certain, vous découvrez qu'un des champs jouxtant votre quartier se trouve contenir des plans de maïs génétiquement modifiées.
3/ Vous êtes confiant. Si on autorise ce genre de choses, c'est que ça ne présente aucun danger. D'ailleurs, vous êtes impatient de goûter à cette céréale qu'on dit bien meilleure que celles produites par mère nature. Vivement.
4/ Vous tremblez, Néron, et sentez votre chute proche. Avec tout ce qu'on raconte, si les OGM sont à peine dix fois moins dangereux que les rumeurs, votre vie est déjà menacée. Vous allez derechef voir le maire, qui vous explique qu'il n'a pas eu son mot à dire parce que c'est pas lui qui décide ce genre de choses. Vous songez à déménager.
2/ De toutes façons, avec toutes les saloperies qu'on vous fait avaler, vous n'êtes plus à ça près. Vous entrez dans le champ mais, un malheur n'arrivant jamais seul, l'agriculteur vous surprend et appelle l'agence de sécurité des nouvelles cultures pour qu'elle vous abatte. C'est pas de bol quand même, vous allez en 31.
1/ Vous faites immédiatement demi-tour. Arrivé chez vous, vous saisissez votre meilleur mélange pour soin végétal, et allez en répandre partout dans le champ. Lorsque vous avez terminé, il suffit d'une allumette pour vous débarrasser du danger une bonne fois pour toutes. Vous faites toutefois bien attention à ce que personne ne consomme le pop-corn produit lors de votre petite fête improvisée.
5/ La génétique c'est super, ça permet de modifier des plantes comme on fait pour les voitures. Votre cousin justement il a une super cent cinq avec des kitages qui fait qu'il peut plus prendre les rues qui ont des dos d'ânes. Par contre, c'est pas encore au point, les épis sont pas beaucoup plus beau que d'habitude on dirait.

Vous êtes au supermarché, dans la queue vers une des rares caisses ouvertes. D'ailleurs, à bien y regarder, il n'y en a qu'une seule. Vous qui espériez que venir quand le magasin est désert vous ferait gagner du temps, finalement, vous en perdez encore plus. Et là, l'unique caissière trouve sur son tapis un produit non référencé, dont le prix n'est indiqué nulle part. Il lui faut dès lors aller voir dans le rayon.
1/ C'est parfait. Puisqu'il n'y a plus personne pour encaisser votre argent, on peut donc dire que le magasin est abandonné au libre service. Vous ensachez donc vos courses puis contournez la queue pour passer par la sortie sans achats, et déguerpissez sans demander votre reste. Amusant, le vigile n'a rien compris de ce qu'il se passait, mais il est sans doute là pour ça.
3/ Oh non, vos surgelés commencent déjà à décongeler, il va vous falloir les manger dans les deux jours. C'est pas de chance quand même, vous aviez justement pris de quoi faire des stocks pour ne pas avoir à revenir trop souvent.
5/ A force d'attendre, vous avez faim. Ca tombe bien, vous avez acheté plein à manger. Vous vous asseyez par terre et commencez à manger. Les gens autour de vous commencent par se plaindre, et finissent par partager avec vous votre pique-nique dans la joie d'un instant loin de la rengaine quotidienne.
4/ Vous tremblez, Néron, et sentez votre chute proche. Vous allez à l'accueil du magasin pour demander qu'on ouvre une caisse supplémentaire, mais il n'y a personne à l'accueil. Et quand on vient enfin s'occuper de vous, vous vous rendez compte qu'il s'agit justement de l'unique caissière qui vient de terminer son service...
2/ Vous ne le supportez plus. La vie est vraiment trop cruelle. Heureusement, vous avez repéré un rayon de produits d'entretien qui seront idéals pour venir à bout de votre vieille carcasse. En plus, ça fera bien chier tous ces cons du supermarché. Vous vous jetez sur les doses d'eau de javel et les faites passer avec un bon coup de White Spirit. Rendez-vous en 31.

Dimanche, jour d'élection, vous vous présentez au bureau de vote. Mais lorsque vous vous présentez pour mettre le bulletin dans l'urne, vous vous voyez votre suffrage refusé parce que vous avez oublié votre carte d'électeur et que votre carte d'identité est périmée.
3/ Zut, vous avez vraiment été négligent. Vous ne saviez même pas que votre carte était périmée depuis deux jours. En plus, vous avez perdu votre carte d'électeur. A moins que vous ne l'ayez pas reçue. Bref, de toutes façons, quelqu'un comme vous ne mérite probablement pas de voter.
5/ On vous fait également remarquer qu'il faut mettre votre bulletin dans une enveloppe, mais, ceci fait, on vous signale gentiment que normalement, on ne doit pas pouvoir reconnaître votre bullletin parmi les autres. Et le votre est plein de ce gras crasseux dont vos doigts sont enduits. Mais bon, on finit par vous concéder le vote, parce qu'on estime qu'on obtiendra pas beaucoup mieux.
4/ Vous tremblez, Néron, et sentez votre chute proche. Vous osez néanmoins signaler que rien ne vous oblige à avoir une carte d'identité valide ou une carte d'électeur pour voter, à partir du moment où vous pouvez justifier de votre identité par un document officiel, même périmé, et où votre nom figure sur les listes électorales. Mais on vous rétorque qu'ici, ça ne se passe pas comme ça, et vous repartez, l'air maussade.
2/ Vous repartez, penaud, avec votre bulletin. Dehors, vous vous asseyez dans l'herbe et méditez. Devant ce sentiment d'exclusion, la tristesse vous envahit. En ouvrant l'enveloppe, qui de toutes façons était vide, vous vous coupez le doigt. Cela vous inspire une idée. Vous réussissez le tour de force de vous trancher les veines avec du papier dans un lieu public. Vous aviez raison, vous êtes comme transparent, ce qui vous amène en 31.
1/ Vous aviez prévu le coup, et commencez à faire un scandale. Vous menacez le responsable du bureau de porter plainte contre lui, et, après maintes simulations de consultation de code électoral et d'appels à un ami, on vous autorise enfin, exceptionnellement, à voter. Vous glissez votre bulletin dans l'urne, et restez sur place, afin de vous assurer que ça ne se reproduise pas.

Votre fournisseur d'accès à internet vous prélève, chaque mois, un substanciel pécule que vous pourriez sans trop de difficultés envisager de conserver sur votre compte. Ce qui est plus ennuyeux, par contre, c'est que vous n'avez toujours pas accès au réseau international, votre modem se contentant de clignoter de temps en temps, avant de s'éteindre à nouveau.
3/ Ah ben mince, ça doit être une erreur. Vous appelez la hotline supersurtaxée, et attendez qu'on vous réponde. Mais finalement, au bout d'une heure, vous abandonnez. Il vaut mieux attendre, ça finira bien par se résoudre tout seul.
1/ Vous êtes révolté. Vous envoyez une lettre et un colis recommandés à l'escroc avec, dans la première, une mise en demeure de vous rembourser tous vos frais accompagnée d'un peu de farine, pour déconner, et, dans le second, tout l'équipement qu'il a pu mettre à votre disposition. De plus, par sécurité, vous faites opposition au prélèvement.
5/ Cela ne vous ennuie pas plus que ça. De toutes façons, vous n'avez pas d'ordinateur, vous vous êtes contenté de répondre à un questionnaire quelconque qu'un commercial vous avait tendu dans un supermarché. Vous ne prenez aucun risque, après tout, vous n'êtes pas civilement responsable.
2/ Vous êtes énervé, coincé dans une situation ne semblant avoir aucune issue. Par dépit, vous arrachez les câbles du modem, ainsi que toutes les prises alentour. Au passage, vous prenez le jus. Rendez-vous en 31.
4/ Vous temblez, euh, et bien, Néron quoi, etc. Vous appelez la hotline supersurtaxée, et attendez qu'on vous réponde. Au bout de deux heures d'attente, vous finissez enfin par avoir quelqu'un. Vous faite un scandale, et on transmet votre dossier au service client. Deux semaines plus tard, vous obtenez enfin le remboursement du premier mois de prélèvement, ainsi qu'une facture téléphonique d'une valeur deux fois supérieure.


Résultats :

Si vous avez une majorité de réponse 1, vous êtes un contestataire. Vous avez bien compris qu'il ne sert à rien d'attendre une hypothétique révolution sociale, alors vous la faites vous-même. Et je vous en félicite personnellement. Permettez-moi de vous remettre le prix Pas-Belle de la dignité humaine et de la volonté sociale. Essayez de faire bouger les autres, et le Pas-Belle de la révolution, Graal parmi les Graals, ne sera plus très loin.

Si vous avez une majorité de réponse 2, vous êtes suicidaire. Et probablement félin également, pour avoir autant de vies. A moins que vous ne soyez dans un jeu vidéo, enfin peu importe. De toutes façons, maintenant, vous êtes sans doute déjà mort, rendez-vous en 31.

Si vous avez une majorité de réponse 3, vous êtes un mouton. Non, pas l'animal, l'archétype même du pauvre gars qu'on a envie d'arroser de baffes tellement sa passivité frôle la perversion anale. Vous pouvez vous faire emmancher par tous les trous, vous êtes capable d'en demander encore. Et au delà de ça, vous ne comprenez même pas ce que vous pouvez bien faire de mal, alors que c'est à cause de gens comme vous que l'humanité se pète la gueule. Des égoïstes, y'en aura toujours, c'est même presque nécessaire. Mais des caves pour se laisser faire, ça non, ça n'a rien d'indispensable. Et puisque vous n'envisagez pas de changer quoi que ce soit, je vous souhaite une mort lente et douloureuse dans les plus brefs délais. Par fissure anale, cela tiendrait de l'ironie croustillante, je la préconise vivement.

Si vous avez une majorité de réponse 4, vous êtes raisonnable. Et les gens raisonnables n'ont pas la belle vie. Ils regardent les gens pas raisonnables, et bien souvent ils les envient. Vous êtes donc stressé à bloc, tendu comme un string sur une grosse dondon, et le moindre écart du programme vous perturbe profondément. Parfois, un éclair de lucidité vous transperce, et vous osez hausser le ton. Mais ce n'est que pour évacuer votre rancoeur et vous calmer aussi sec. S'énerver ne sert à rien après tout. Et c'est là que vous vous trompez. La colère n'est pas une fin en soi, mais un outil. Faites-vous pousser des couilles, et elle vous expliquera comment vous en servir pour parvenir à vos fins, des fins finalement très raisonnables, mais pour lesquelles il faut se battre pour ne pas en être privé.

Si vous avez plus de 5 que des autres chiffres ou que vous n'êtes pas sûr, vous n'êtes pas gâté. Votre intelligence n'est sans doute pas votre principale qualité, mais votre compagnie peut s'avérer fort intéressante, voire même libératrice, lorsque votre bain mensuel ne remonte pas trop loin. L'avantage que vous avez sur le reste du monde tient dans un proverbe, peu glorieux d'apparence, mais en définitive particulièrement élogieux lorsqu'on s'y attarde. Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait. Mais en même temps, si ne pas être con signifie endurer et fermer sa gueule, il vaut mieux être un bon gros con que devenir totalement insignifiant.

Si vous avez une majorité de 31, vous êtes mort, et vous commencez vraiment à me faire flipper à rester dans les parages.

Si vous n'avez jamais joué à un livre dont vous êtes le héros, vous avez bien de la chance. Imaginez une sorte de jeu de rôle en solitaire, dans lequel votre personnage fait des choix totalement arbitraires, malgré vos conseils éclairés, et n'est pas capable de rester en vie plus de trois pages, vous obligeant à relire le livre depuis le début, et le tout servi par un scénario très peu inspiré rédigé dans un style vraiment regrettable. Oui, regrettable, c'est le mot, je crois. En plus, la fin de l'histoire est la même pour tout le monde, alors autant lire un livre tout à fait normal qui ne vous demandera pas trois tonne de matériel, matériel qui ne servira de toutes façons jamais, le tout pour progresser dans une aventure subie par tous les intermédiaires, de l'auteur au lecteur, en passant par le personnage. A la limite, par curiosité, essayez, mais bon, vous pourrez pas dire que vous saviez pas.

Si vous vous êtes lié d'amitié avec un petit garçon mais que le reste du monde semble vous ignorer, ne cherchez pas plus loin, et rendez-vous en 31.

Si vous êtes organisateur de concours de nouvelles, expliquez-moi pourquoi vous demandez la présence du candidat à la remise des lots, lorsque ces lots ne dépassent pas la moitié du prix à fournir pour aller les chercher. Serait-ce une sorte de ségrégation géographique déguisée (puisque d'autres concours l'affichent ouvertement) ?

Si vous n'arrivez plus à tourner la poignée de la porte et que vous êtes enfermé dans la salle de bain avec votre sosie raide mort dans la baignoire par électrocution, ne cherchez pas plus loin que le 31. Si vous vous appelez Claude, on fera de vous des statues en bronze particulièrement immondes, et on pleurera dessus comme les téléphones dans vos chansons.

Si vous en avez marre de lire mes conneries, personne ne vous retient. Si vous restez quand même parce que vous voulez savoir comment ça finit, ça me fait beaucoup de peine, vous n'êtes qu'un vilain de toutes façons.

Si vous avez étrangement faim à chaque fois que vous croisez quelqu'un, essayez de vous souvenir de la dernière personne qui vous a mordu. Si c'était un vampire, vous voici devenu comte. Pas mal l'ascenseur social. Si c'était un truc poilu, vous êtes un loup-garou, et croyez-moi vous n'êtes pas tant à plaindre, parce que si c'était un zombie, vous risquez pas de remporter une épreuve sportive, même aux jeux paralympiques. Quoi qu'il en soit, rendez-vous en 31.
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